L'histoire d'Uroko Chomei n'est que collection de récits parsemés à travers les âges. De ce qu'on en recoupe, il en ressort qu'il aurait été natif du clan Suigyuuku. Ses descendances sont incertaines, mais il est dit qu'il aurait été un samouraï des plus droits et loyaux au service du père de Suigyuuku Mitsuru. C'était un homme qui repoussait sans cesse ses limites, sensible à la voie du guerrier, fort de l'éducation qui lui avait été offerte par les siens. Un membre banal de Suigyuuku mais modèle, puisqu'il revêtait parfaitement les valeurs de son clan : à savoir un excellent équilibre de vie ainsi qu'un sang-froid. Son seul défaut était d'être, certes, bon, mais dur. Beaucoup trop pour accepter quelque compagne qui pourrait affaiblir son esprit guerrier. Ce côté mysogine était donc à la fois sa faiblesse mais aussi sa plus grande force. Il ne vivait pour personne et il était prêt à mourir pour son seigneur.
De fait, puisqu'il était le guerrier le plus dévoué à son seigneur, il monta rapidement en grade jusqu'à être promu chef de guerre du clan Suigyuuku. Son seigneur plaçait, d'ailleurs, une confiance telle qu'il lui confia l'éducation de son fils, Mitsuru. Sans doute est-ce grâce à la dureté des entraînements que dispensait Chomei que le seigneur tient sa réputation d'aujourd'hui. Et sans doute est-ce aussi grâce à ça que le jeune seigneur a su s'imposer face au clan Nezumide si jeune...
Par ailleurs, l'on raconte que les évènements qui relatent de la conquête dudit clan ont causé un tournant des plus décisifs dans la vie de Chomei. Mais parce que c'était un samouraï dévoué à son seigneur, il l'a servi jusqu'au jour où il n'était plus capable de le servir. Il n'y avait nul dilemme entre protéger la vie de celui qui menait le clan, ou subir la cécité faute d'avoir subit le corroux des pouvoirs Nezumide.
La perte de sa vue fit de lui l'un des plus grands invalides et, au sens propre du terme, il perdit tout le monde de vue. Sa vie ne fut que vagabondage et errance, à 40 ans, de nouveau à la recherche de sa dextérité perdue. Sa honte d'avoir failli sur le champ de bataille sans pour autant périr lui a valu d'entreprendre de cacher son identité. Pour des raisons inconnues, on le croisait désormais de blanc vêtu, le visage complètement encapuchonné, répondant au pseudo de l'écaille blanche. Il agissait selon son karma et tuait impitoyablement les criminels qui passaient en travers de sa route. Personne n'eut vent qu'il s'agissait de l'ancien chef de guerre de Suigyuuku.
Sa cécité lui permit de prendre conscience du Ki, de mieux saisir son aspect, son essence. Sa conscience se mouvait peu à peu de son cerveau à son hara. Les enseignements théoriques qu'il avait subis jusque-là portaient peu à peu ses fruits. Sa perception du monde changeait, et cette blessure qui avait affaibli auparavant Chomei l'avait en fait renforcé. Il voyait et ressentait bien, voire mieux qu'un être humain capable de voir.
Il s'établit loin de ces montagnes enneignées dans lesquelles il avait grandi, évolué. Sur son chemin, il croisa d'ailleurs une âme en peine qui répondait au prénom de Shiro. Le jeune garçon avait subit un sort plutôt constrastant avec celui de Chomei, mais tous les deux avaient vécu une déception telles que le Suigyuuku éprouvait secrètement quelque compassion pour ce jeune garçon de 6 ans, qu'il décida de prendre sous son aile. Comme Mitsuru, il lui fournit une éducation et un entraînement des plus stricts, et lui conféra en bonus un enseignement théorique sur les chiffres et la cryptographie pour que leurs secrets, si Shiro irait jusqu'à les écrire un jour, ne tombent jamais entre les mains de l'ennemi.
Comme Mitsuru à l'âge de ses dix-sept ans, Shiro avait comme acquis ce même orgueil et cette même hardeur qui l'incita à se détâcher de son maître pour y voir du pays. Bien que Chomei ne l'eut pas pensé vraiment, il le menaça de le tuer si jamais Shiro revenait à lui. Paroles qu'il ne respecta pas car, selon lui, Shiro était comme un fils qu'il n'avait jamais eu, et il fit de sa seule et unique visite un entraînement comme un autre.
Seulement, voilà. Alors que Chomei pensait finir ses jours tranquilles, tel un ermite reculé, il fut de nouveau repéré par des samouraïs de son clan. Samouraïs qu'il accepta de suivre jusqu'aux terres du clan Suigyuuku. Il retrouva peu à peu ses racines et, fort de constater l'acabit de Chomei, on lui proposa de réintégrer ses fonctions d'antan au sein du clan. Ce qu'il accepta par nostalgie...
... Mais qu'éprouve-t-il réellement, au final ?
Mes Gains Acquis
Niv. 1 :: Acquisition du 1° Pouvoir Divin & Capacité de son clan (+ le 1° du clan dominé)
Niv. 5 :: Acquisition du Premier Art
Niv. 8 :: Acquisition de la capacité d'allier son Pouvoir Divin à ses armes
Niv. 13 :: Acquisition du Deuxième Art
Niv. 22 :: Acquisition du 2° Pouvoir Divin de son clan
Niv. 25 :: Possibilité d'entrer au "Conseil" de son clan (avec accord du Seigneur/Dame) + Acquisition du Troisième Art
Compétences, Habileté, Maîtrise...
☼ Niveau de Gloire :: 30
☼ Arme(s) :: Katana déguisé sous la forme d'une canne pour aveugles.
Chomei est le fondateur officieux de la discipline du wajutsu. Cette école considère l'art martial du jujutsu non pas comme une fin, mais comme un moyen de parvenir à une fin toute autre, nommée wajutsu : l'art de l'accord avec soi-même. Le jujutsuka embrassant l'art du wajutsu à ce stade connaît les techniques de self-défense, sol, et kata des quatre éléments : terre, eau, feu et air. Chaque élément lui procure une sensation et des techniques différentes et sont de difficulté croissante : appréhender les techniques de l'élément air nécessite davantage de concentration que les techniques de l'élément terre. Voici un descriptif des quatre éléments :
* Terre : le stade où l'élève réalise ses techniques d'une façon schématique, il doit réfléchir sur ses actions et accepter sa transformation possible à travers la pratique. Le travail est dur comme le sol (la terre), stable comme un bloc de pierre carré.
* Eau : À ce stade, l'élève est un étudiant confirmé et s'est suffisament élevé spirituellement pour que son travail soit plus souple, plus rond, plus harmonieux, plus subtil. Il utilise dans son travail technique des déplacements en cercle qui deviennent beaucoup plus harmonieux que pendant l'étude de l'élément terre. Il apprend également à maîtriser toutes ses réactions émotionnelles, il s'accorde mieux avec les attaques adverses, ses gestes deviennent plus artistiques.
* Feu : À ce stade, le disciple volontaire se doit de parvenir à la maîtrise de son mental pendant l'application des techniques, mais aussi à l'occasion de toutes actions. C'est l'élément feu qu'il convient de maîtriser. La technique est rapide, ample comme le feu qui, d'une étincelle, devient tout à coup immense. À ce stade, le disciple volontaire perfectionne son état mental et s'efforce de vivre le Bushido.
* Air : À ce stade, le disciple confirmé deviendra expert puis maître. La défense est rapide comme l'air et le vent, les mouvements sont traités à la perfection malgré la rapidité de l'attaque et sans en connaître d'avance la direction.
Le niveau sensei permet d'appréhender le niveau shi-hai (autre art nécessaire)
2e art : Wajutsuka niveau Shi-hai
Il ne maîtrise pas la technique, il se confond avec la technique, il EST la technique même.
Chomei a sû perdurer son entraînement dans l'art du wajutsu, lui offrant dès lors la connaissance du cinquième élément : l'ether. Il représente le vide, le cosmos, l'univers, la vie sous toutes ses formes, le Ki. À ce stade, le pratiquant traite l'attaque de l'adversaire en une fraction de seconde avant même que le mouvement ne soit dangereux. À ce stade, le pratiquant doit faire preuve d'un mental infiallible, être en accord avec lui-même ainsi qu'avec l'univers. Nul sentiment négatif ne doit émaner du maître wajutsu pour ressentir le stade de l'Ether. Et malgré l'obsession pour la mort qu'un samouraï doit ressentir, l'envie de vivre doit primer sur le reste.
L'ether est la clef vers de nouvelles techniques inédites et variables en fonction des individus. Techniques qui, pour la plupart, restent grandement théoriques et basée sur l'appréhension du Ki.
3e art : Shin-No-Ippou
Je ne voyais pas ses yeux, mais je sentais un regard qui avait l'emprise totale de mon être !
Dans sa quête de la symbiose avec le Ki, Chomei s'est découvert un art de comprendre l'esprit guerrier de ses adversaires jusqu'au point de les "paralyser". Ses yeux, pourtant exempt de capacité à percevoir l'environnement, se mettent à s'illuminer telles de petites sphères blanchâtres, projettant son esprit guerrier telle une forte émission de Ki, et émettent une aura suffisamment impressionnante pour que les esprits les plus faibles se retrouvent dans l'incapacité de se mouvoir. L'effet de la technique varie en fonction de la robustesse et la volonté de la cible. Une cible forte d'esprit pourra rompre le sortilège en quelques secondes, une cible faible mettra quelques minutes avant de bouger le petit orteil. Et l'on raconte que les plus faibles peuvent mourir étouffés.
Le lanceur peut également utiliser le Shin-No-Ippou sur lui-même, faisant ainsi office d'auto-hypnose et décuplant ses capacités au prix de sa raison.
Art déduit par l'étude du Wajutsu-Yin, autrement dit faisant usage de Ki négatif. Trop d'utilisation peu inciter le pratiquant à basculer du côté obscur et à perdre la raison.
Utilisable une seule fois par combat, sur une ou plusieurs cibles simultanées.
Mes Succès Gagnés
☼ Nom du Succès :: Description → Points de Gloire ☼ Nom du Succès :: Description → Points de Gloire ☼ Nom du Succès :: Description → Points de Gloire
Premier Sujet Rp :: [url=URL DU RP] Titre du Rp [/url] avec Nom Prénom / Surnom.
Deuxième Sujet Rp :: [url=URL DU RP] Titre du Rp [/url] avec Nom Prénom / Surnom.
Duel :: [url=URL DU RP] Titre du Rp [/url] avec Nom Prénom / Surnom.
Rp Libre :: [url=URL DU RP] Titre du Rp [/url] avec Nom Prénom / Surnom.
Mes Rp's terminés
Mes Aventures dans le Hinomoto
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Mes Aventures dans le Continuum Espace-Temps
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Mes Relations
Je recherche...
• Un élève / héritier • Une servante qui l'aide quand son invalidité ne lui permet pas d'accomplir certaines choses • Un rival • Un enfant caché (biologique contrairement à Shiro)
• Une poignée de ninjas personnels • Ce que tu veux • Ce que tu veux • Ce que tu veux
Mes Amis, Mes Ennemis
Suigyuuku Mitsuru
« Seigneur »
Mitsuru est le seul à même de pouvoir donner des ordres à Chomei. Ce dernier, en véritable samouraï, considère que sa vie appartient entièrement à son seigneur, et sera capable du meilleur comme du pire sans discuter les directives de l'homme qui fut autrefois son protégé. Il n'attend qu'une chose : combattre à nouveau aux côtés de Mitsuru et périr pour entraîner un maximum d'ennemis dans sa chute.
Uroko Shiro
« Ancien élève / fils adoptif »
Après avoir déserté faute d'être inapte à combattre à cause de sa cécité, Chomei a rencontré, hors des sentiers battus, une âme en peine répondant au prénom de Shiro. Qui l'eut cru ? Il s'éprit de compassion pour ce jeune garçon qu'il avait sauvé d'une multitudes de bandits et décida de le prendre sous son aile puisqu'il était orphelin. Il passa dix ans de sa vie à l'élever comme à l'endurcir pour faire de lui un guerrier hors pair, comme il le fit avec Mitsuru. Mais aujourd'hui, leur clan respectif n'étant pas particulièrement alliés, Chomei n'aura sûrement d'autre choix que de détruire ce qu'il a bâtit. Mais qui sait...?
Hanakite Jirocho (PNJ) et Hogen Houtou
Jirocho et Houtou sont, au même titre que Chomei, les principales têtes pensantes du clan. Les trois hommes ont grandi et servi ensemble la lignée Suigyuuku et sont forts complémentaires de par leurs compétences. À eux trois ils forment le trio qu'on appelle « Taureaux d'Itegami » tant leur puissance est divine une fois combinée et sagement utilisée sur les champs de bataille. Et malgré la longue absence de Chomei, la complicité des vieux ne semble pas avoir changé.
« Amis de longue date »
Takahara Risako
« Compagnon d'armes »
Beaucoup ont pensé Chomei comme étant un être misogyne. Et pourtant ! Risako doit être la deuxième ou troisième femme, dans son existence, à qui il voue quelconque considération. Tant que celle-ci n'essaiera pas d'entreprendre quelque entourloupe à l'égard du clan des buffles, Chomei la considérera dûment comme une alliée et lui transmettra sans doute une part de son savoir. Car le devoir prime avant tout, et si du jour au lendemain Risako est décrétée comme ennemi du clan, alors le vieux la tuera.
Dernière édition par Uroko Chomei le Lun 1 Avr - 17:06, édité 15 fois
Je valide les deux premiers Arts proposés, donc, par contre je vais devoir demander confirmation pour le troisième, je repasserai donc le valider ou dévalider plus tard '^^
Sujet: Uroko Chomei 
Sam 17 Nov - 17:26
