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 Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun]

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Iwasa Shiro







Iwasa Shiro

■ Clan Ryuuji ■
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Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun] 474498Gauche975/1700Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun] Vide2  (975/1700)

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MessageSujet: Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun]   Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun] EmptySam 3 Sep - 9:40

Deux êtres. Plus précisément deux individus, deux êtres humains, deux adversaires, deux guerriers. Deux esprits combattifs. L'un tenait une naginata, l'autre... N'avait qu'un fourreau. Tous deux se fusillaient du regard dans un décor sinistre. Il pleuvait des cordes. Les pavés étaient glissants. Les arbres environnants étaient vieux, aux troncs énormes, et la verdure était des plus sombres. Le guerrier à la naginata était fort bien vêtu : il portait un accoutrement où chaque élément semblait assorti avec les autres : un chapeau quelque peu cornu, une armure légère, le tout aux couleurs rouges orangées, bref, dans un ton de couleurs chaudes, ardentes, en parfaite adéquation avec le zèle de son porteur. L'autre homme au fourreau était vêtu de façon plus modeste. Son kimono léger, aux couleurs grises / jaunâtres, arborait fièrement un dragon en son dos. Symbole du clan Ryuuji. L'homme avait les cheveux tombant sur le visage. Ses yeux verdâtres étaient comme remplis de braise, lui aussi. Nul doute, il s'agissait d'Uroko Shiro, en position de faiblesse, désarmé plus tôt par son adversaire. Le silence était pensant, bien qu'on entendait les gouttes de pluie s'échouer bruyamment sur le sol. Un éclair vint bruyamment perturber ce son continu, frappant non loin mais ne faisant nullement broncher les deux hommes. Ils se mirent à charger tous deux. Uroko envoya valser son fourreau dans la glotte de l'adversaire tandis que celui-ci le toucha mortellement au flanc. Uroko chut au sol, sentant sa vie se vider comme son sang...

Nuit noire. Silence absolu. Temps sec. Nature calme. Plaines aux environs. Chants de grillons continus. Et puis un homme, plongé dans ses rêves, adossés contre un arbre parmi d'autres, la garde du sabre reposé contre son épaule gauche. Drôle de position pour dormir... Peut-être était-ce un samouraï sur le qui vive, même durant son sommeil. Celui-ci s'agita d'ailleurs légèrement. Il ouvrit brusquement les yeux. Il ne ressentit aucune brûlure oculaire pendant son réveil, si bien qu'il se saisit vivement de son sabre qu'il dégaina pour frapper dans le vide, à la volée, après un pivot complet en guise d'élan, laissant s'échapper le bruit d'une simple vague d'air. L'homme resta immobile quelques temps, plongé dans une réflexion interne. Puis il rengaina lentement, reconnaissant qu'il était seul et hors de danger. Puis il massa lentement son visage avec ses mains, se rendant à l'évidence qu'il avait fait un mauvais rêve. Haussant les épaules, il continua sa route... Mais pourquoi ?

[...]

Un congé de plus durement mérité. Le samouraï qu'était Uroko Shiro avait justement décidé de pérégriner dans cette non-lointaine contrée qu'était Umano. Bien que la hiérarchie supérieure ne lui avait confié nulle tâche - n'oublions pas, Uroko était congédié de ses fonctions - le jeune homme avait en tête d'aller présenter ses respects au clan Umano par la même occasion. Ainsi, à la minute où il termina sa journée, il se mit en route, de nuit, pour ladite ville. Tel un vagabond, il marchait sur les longues voies sinueuses, empruntant des bifurcations de temps à autre, guidé par le vent et son instinct. Après tout, le jeune homme ne manquait pas de temps. Il marchait de nuit comme de jour, se reposant peu, aimant plutôt admirer le ciel étoilé, comme perdu au beau milieu d'une nature luxuriante. Parfois il lui arrivait de s'adosser au dos d'un arbre, son sabre non loin, faute d'être rongé par l'épuisement.

C'était donc ça. C'était cet épuisement et cette position délicate qui l'avait plongé dans un sommeil, disons, mouvementé. Mais le samouraï avait déjà oublié cette péripétie. D'ailleurs, ce visage ne lui disait absolument rien. Alors, il marchait, émettant des bruits de pas continus, sans la moindre interruption, légèrement penché en arrière, les mains croisées au dos de sa tête, comme savourant cette liberté éphémère qu'était celle de voyager ainsi, avec pour seul guide la lumière argentée qu'émanait cette pleine lune, accompagnée des milliers d'étoiles dans ce ciel bleu-noirâtre. La route est longue, mais la voix est libre. Mais l'humain ne voyait pas le temps passer. Le ciel devenait légèrement plus clair, passant d'un bleu marine à un bleu violet, encore sombre, parfois nuageux. C'était spectaculaire. Et puis le paysage s'éclaircissait. On voyait une petite tâche jaunâtre apparaître timidement, au loin, derrière quelques monts. Ce surplus de lumière qui venait littéralement déchirer l'obscurité actuellement agressa brusquement la vue du jeune homme qui se rappela qu'il n'avait que trop peu dormi. Mais au loin, il apercevait déjà la civilisation. Un ensemble de bâtiments. Puis du bruit. Plus précisément un bruit de foule, un brouhaha comme ce qu'il y avait de plus commun au sein d'un village. Après une poignée de minutes, il finit par pénétrer cette enceinte. De ses yeux de zombies, il chercha du regard quelque élément qui pourrait lui mettre la puce à l'oreille. Il aperçut, parmi l'une des nombreuses bannières, le terme "Umano". Il ferma les yeux de soulagement, manquant de tomber sous la fatigue. Il s'essuya les paupières, baillant à s'en décrocher la mâchoire mais silencieusement, plaquant la paume sur sa bouche. Des larmes de fatigues perlaient sous ses yeux rouges aux vaisseaux éclatés. Il se dirigea vers ce bâtiment, non loin, dont l'enseigne lui faisait légitimement penser qu'il pourrait se restaurer céans. Il avançait lentement, frottant ses sandales sur le sol, le dos quelque peu courbé, tel un zombie sans vie. La fatigue l'avait énormément drainé, à vrai dire. Et il lui fallait reprendre des forces. Il leva lentement les rideaux qui séparaient ces lieux du monde extérieur, et se redressa un peu, presque à bout de force, pour saluer l'hôte en courbant de nouveau l'échine, suivit d'un "Bonjour" faible, étouffé par la fatigue d'Uroko Shiro. Il avança lentement, ne faisant nullement attention à la populace qui séjournait aux tables non loin. Il alla s'asseoir en retrait. Il n'entendait presque plus rien. Son regard s'était perdu sur la table. Il fermait presque les yeux. Il ne prêtait guerre attention aux discussions qui se prêtaient aux alentours. Elles ne le faisaient même pas tilter, à vrai dire. Et puis, quelques secondes plus tard, dans sa somnolence, il vint légèrement cogner le bout de son front contre la table, se redressant vivement et laissant s'échapper un "Oro.", regardant l'ensemble des occupants tour à tour, quelque peu gêné, de ses petits yeux fatigués, un léger sourire mais quelque peu gêné. Il leva la paume de la main comme pour dire "tout va bien", manquant quelque peu de force pour élever le ton.

Mais le jeune garçon bailla soudain, inhibant les sons indiscrets qui auraient pu en émaner, mettant mécaniquement une main devant sa bouche. Il vit une femme passer. Elle avait la dégaine d'une servante, était habillée comme une femme mais avait plutôt les traits d'une jeune fille. Dans sa fatigue, Shiro de lancer, entre quelques baillements qui avaient étouffé une partie de ses mots :


« S'cusez-moi, y a possibilité 'passer commande ? »
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Wakamoto Jun







Wakamoto Jun

■ Clan Umano ■
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MessageSujet: Re: Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun]   Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun] EmptyMar 6 Sep - 21:15

L'aube étendait ses doigts rosés sur la région Umano. Doucement, avec une minutie dont seule la nature était capable, elle s’infiltrait dans toutes les habitations, échoppes et forges à travers les murs de papier coulissants. Lorsque les premières lueurs du soleil atteignirent Jun, elle rabattit la couverture de son futon sur son visage. Il y eut un gémissement agacé étouffé par le tissus, puis on entendit une petite exclamation, et enfin la servante émergea de sous sa couette. Elle jeta des regards de droite et de gauche et lorsque son regard se posa sur son maître elle se rappela que le kimono qu'elle portait était relativement léger et que c'était d'ailleurs la raison pour laquelle elle dormait après lui et se levait avant lui.
Jun se faufila jusqu'au paravent de la chambre derrière lequel elle se changea aussi vite que possible. Parfois, elle maudissait le nombre de couches que comptait un bon kimono. Non, à vrai dire c'était un mensonge songeait la servante en finissant de nouer son obi. Elle maudissait ces stupides vêtements chaque fois qu'elle les portait. Ce qui était par conséquent plutôt courant. La jeune fille laissa un gros soupir s'échapper tandis qu'elle fourrait son kaiken dans son kimono et qu'elle se dirigeait vers son futon. Elle en attrapa la couverture et contempla Junji dans son sommeil.

Sans vraiment savoir pourquoi, elle était quelque peu irritée de le voir allongé de la sorte. Cette histoire à Matsue lui était restée en travers de la gorge. Il lui arrivait parfois la nuit de revoir ces hommes avec leurs cordes et leurs couteaux. Cette femme avec son sourire malsain. Et tous ces nobles articulés par des fils comme de vulgaires poupées. Mais surtout l'image de son maître, lui-même emprisonné dans une espèce de toile qu'ils tissaient, allongé là, inerte.
L'impression du danger qu'elle avait encouru était resté gravé dans son corps. Elle n'avait pas craint pour sa peau, mais son propre organisme lui rappelait chaque nuit que malgré tout, elle aurait pu mourir. Jusque-là, elle s'était protégée derrière ses poisons. Elle n'avait pas vraiment été en danger immédiat. Mais maintenant, c'était fait.
Jun jeta la couverture sur le nez de son maître qui se réveilla en sursaut comme tous les matins qu'il avait passés avec elle sur le voyage retour. Alors qu'il s'apprêtait à lui faire remarquer que cette petite habitude devenait vite vielle, Jun lui rappela qu'il avait rendez-vous avec elle ne savait plus quel officier du coin et que par conséquent il serait plus judicieux de se presser. Junji grommela quelque chose qu'elle ne comprit pas et se leva.

Jun alla chercher de l'eau fraîche avec laquelle elle fit une toilette sommaire de son maître. D'habitude, c'étaient ses autres servants qui s'occupaient de cela. Mais si Jun était gênée, elle en montrait le moins possible et laissait son maître s'occuper des parties stratégiques dans son habillement. Elle lui tendit le haut de son kimono et après qu'il l'ait enfilé, elle lui noua son obi et lui tendit son paquet de sabres sans plus de cérémonie.
Elle l'observa un moment, et jugeant son travail satisfaisant, elle ouvrit la porte coulissante de leur chambre pour lui indiquer qu'il pouvait sortir. La servante l'accompagna jusqu'aux portes de l'auberge et le regarda partir. Elle ne quitta son maître des yeux que lorsqu'il disparut à un tournant, accompagné de quelques uns de ses hommes.
Jun n'était pas certaine d'aimer le voir partir sans elle. D'un autre côté, elle n'avait fait que se plaindre de sa décision de l'emmener pendant le voyage aller comme pendant le voyage retour. Elle bâilla en posa une main fine sur sa bouge et rentra de nouveau.

Alors qu'elle revenait sur ses pas pour gagner sa chambre et remettre les futons en place, elle fut arrêtée par un samurai à moitié endormi. D'abord, elle ne fut pas certaine d'avoir compris. Ensuite, elle se demandait si l'homme en question l'avait bien regardée. Puis elle comprit qu'effectivement la méprise se révélait plutôt légitime, elle était une servante après tout. Mais pas une serveuse. Jun prit le temps de toiser l'homme. Vu l'état de ses habits et les cernes qui soulignaient assez visiblement son regard, il ne devait pas être un riche voyageur.
D'abord, elle pensa l'abandonner à son sort. Puis se rappelant qu'elle même venait de traverser le pays, son agacement se transforma petit à petit en pitié. Après tout son maître était parti, et elle ne désirait pas rester à croupir dans leur chambre toute la journée. Jun haussa finalement les épaules et s'installa à la table du jeune homme sans lui demander son avis.

- C'est possible, à condition que vous me payiez un petit déjeuner également.

Elle l'observait avec grand intérêt, se faisant toute petite sur sa chaise. Jun empêcha un sourire malin de s'introduire sur ses lèvres et y plaça plutôt un sourire innocent. Elle ne pensait pas le convaincre, mais il était plus utile de se montrer amicale que malveillante.
Sans vraiment attendre de réponse du samurai en face d'elle, elle appela une vraie serveuse à qui elle demanda deux petits déjeuners avec un thé fort pour monsieur histoire de le mettre en condition pour la journée. Avec une courbette élégante, la jeune femme s'en fut en cuisine. En attendant l'arrivée de sa nourriture, Jun tapotait doucement sur le bois de la table qui la séparait du dormeur dont elle n'était pas certaine qu'il soit vraiment éveillé. Elle était à peu près certaine qu'il s'endormirait là et se ferait jeter dehors par la direction si elle n'y faisait rien.
D'abord, la pensée l'amusa. Ensuite, elle se rappela qu'elle avait faim, et resta par conséquent assise.
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Iwasa Shiro







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MessageSujet: Re: Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun]   Reconnaissance des lieux [PV: Wakamoto Jun] EmptySam 10 Sep - 8:25

« C'est possible, à condition que vous me payiez un petit déjeuner également. »

C'est possible. Cette réponse était plus proche du oui que du non. Le jeune samouraï souriait, les yeux demi-clos, soulagé de sa réponse, tandis que son cerveau lent (cerf-volant ?) essayait de déchiffrer le reste de la phrase. Cette demoiselle lui donna un indice de par sa commande. Deux déjeuners, très exactement. Il tilta et la regarda, elle qui affichait un air innocent. Il cligna longuement des yeux, s'essuyant les larmes de fatigue et s'étirant un peu. Elle avait même eu le réflexe de demander un remontant à l'attention du jeune homme. Il lui rendit son sourire et hocha positivement la tête. Après tout, avec sa paie de samouraï, sachant que son argent ne servait pas à grand-chose... Il haussa les épaules et pouvait bien se le permettre. Il posa ses deux coudes sur la table, sa tête posée sur ses poings, plantant son regard dans celui de la jeune fille. Il ne savait lequel de ses deux yeux fixer, alors il alternait régulièrement. Il avait l'air fort interrogateur ; en effet, cette jeune fille avait eu l'audace de se faire payer à manger, par un samouraï de surcroit - enfin... Un *jeune* samouraï. Les questions fusaient. Tel un volan qui entrait en erruption. Qui était cette jeune fille pour ne pas manquer de confiance en elle ? Cotoyait-t-elle des samouraïs régulièrement ? Avait-elle un garde du corps, etc. Il se redressa, continuant de la toiser et de la jauger.


« Pardon, j'ai l'air d'une poule plantée devant un couteau. La situation ne tourne pas en ma faveur, je dois dire. Je m'appelle Uroko Shiro et suis... Un garçon. Simplement. »


Son fourreau était, certes, en apparence, mais le jeune homme avait horreur de se dire samouraï. Il ne trouvait pas cela des plus respectueux pour les personnes qui n'avaient pas la chance de l'être. Parfois il regrettait sa vie de rônin où il n'avait pas à se soucier de son rapport à l'autre, mais seulement de sa doctrine extrêmement tournée vers le Bushido. Il secoua de nouveau la tête pour s'extirper de ses pensées et d'essayer de focaliser le peu d'attention dont il pouvait encore faire preuve - manque d'énergie, sans doute - à son invitée. Et puis il eut un nouveau tilt. En effet, dans sa somnolence, il avait cru apercevoir cette jeune fille aux côtés de plusieurs hommes armés. Une servante ? Cela expliquerait bien des choses. Qu'elle savait y faire avec les hommes puissants, encore plus avec les jeunes guerriers. Après tout, comme on dit, qui peut le plus peut le moins. Il fut quelque peu perturbé par l'aisance continuelle de son interlocutrice, et essaya d'autant plus de se montrer droit et sérieux malgré son état. Son estomac vint subitement le trahir ; on aurait cru entendre un énorme rugissement. Shiro courba l'échine, laissant s'échapper un petit soupire de désespoir, perdant son regard vide sur la table. Mais dans quel pétrin qu'y s'était fourré, le jeunôt.

Il fut subitement interrompu dans son cirque en entendant les mêmes pas que ceux qui s'étaient dirigés vers eux lorsque la jeune fille avait passé commande. Il redressa la tête, l'air à nouveau innocent, voyant la vraie serveuse ramener deux bols de riz fort généreux, ainsi qu'une coupelle à l'attention de Shiro. Elle déposa délicatement le tout à destination de chacun, tandis que Shiro commmençait par tapoter vers ses poches jusqu'à entendre un bruit métallique. Il attrapa une poignée hasardeuse de de ryos, suffisament assez pour combler le tout plus un pourboire, et ajouta :

« Gardez le tout. »


Il ne voulait pas faire d'excès de zèle, seulement il aimait beaucoup passer du bon temps de la sorte. Et la restauration était importante à ses yeux : c'est elle qui rassasiait les hommes, leur permettait de vivre, entre autre. Littéralement rongé par la faim et la fatigue, il ne calcula plus son interlocutrice et bu son thé d'un cul sec, grimaçant. Sa faim s'accrut, et il se saisit de ses baguettes pour tendre le bol près de sa bouche et commencer à se gaver à une allure impressionnante, il avait déjà vidé de moitié son déjeuner. Il reprit peu à peu sa bonne conscience et, réalisant, posa subitement son bol de riz, comprenant qu'il avait manqué de manières face à cette jeune fille.

« Ah... La bonne humeur, parfois, elle tient vraiment à peu de choses. Excusez le jeune idiot que je suis. J'en avais vraiment besoin. »
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