AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
-10%
Le deal à ne pas rater :
-30€ sur la nouvelle Tablette tactile Lenovo Tab Plus – 11.5” ...
269.99 € 299.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Journal d'un Renard

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Murasama Hiroyuki







Murasama Hiroyuki

■ Clan Hitsujide ■
|Stratège|

Sexe : Masculin ; Age : 33
Messages : 14


Feuille Perso'
▲ Surnom :: Renard Ecarlate
▼ Relations ::
► Points de Gloire ::
Journal d'un Renard 474498Gauche0/2700Journal d'un Renard Vide2  (0/2700)

Journal d'un Renard Empty
MessageSujet: Journal d'un Renard   Journal d'un Renard EmptyVen 22 Juin - 18:03


Etat Civil

Journal d'un Renard Baba10


  • Nom : Murasama
  • Prénom : Hiroyuki
  • Age : 25 ans
  • Sexe : Masc
  • Statut : Stratège
  • Niveau de Gloire : 26



Histoire

Murasama a écrit:

Le Levé du Soleil...

Hiroyuki Takeï, c'est comme ça qu'on le nomma à sa naissance. Seul héritier d'une famille de paysan, il passa sa plus jeune enfance, à la fois dorloté par sa mère et trimbalé dans les rizières. Son père, paysan lui aussi, n'avait guère le choix que de redoubler d'effort pour que la famille puisse avoir de quoi manger. Son éducation, si sobre et simplette soit-elle, lui fut transmise par un vieille femme au village, la doyenne, à qui l'ont confié les enfants en bas âge. Le petit Hiro fut choyé par sa famille et traité comme un prince... Un prince paysan destiné à reprendre l'exploitation de son père.

Les année passèrent ainsi et le petit, âgé de seulement cinq ans, prit lui aussi la route des rizières pour y développer son art. Vite lasser, le petit préférait aux vaste parcelles humides, l'envol des papillons et la floraison des cerisiers. La Doyenne lui offrit alors quelques notions d'art qu'elle avait pu trouver dans de vieux écrits datant d'un autre âge. Elle lui offrit un livre et, bien qu'il ne sut pas lire, il pouvait en contempler les dessins des heures durant. Les réprimandes de son père se firent moins espacée et sa mère ne put se ranger de son côté, trop de labeur, peu de temps et très peu d'argent. « L'éducation n'est pas la priorité des paysans, seul les nobles ont le temps ». Tel a été le diction familial depuis ce jours-là.

Reconnaissant et loyal envers sa famille, il dût se résigner au travail, mais non sans compromis. Le livre fut pour lui un trésor d'évasion et d'imagination. Les batailles prenaient vie au sein de ses rêves et tout les grands noms qu'on évoquait au village prenait forme humaine une fois le sommeil trouvé. Tomoe, le village aux milles rizières, établit dans les montagnes près d'Hitsuji, était un lieu de passage fréquenté par les voyageurs et les marchants. Les discutions, espionnée par le petit garçon durant son enfance, rapporté la beauté du palais, la grandeur de sa seigneurie et les fêtes de la capitale. Qu'il doit être bon de vivre en ces terres.

N'est qu'un rêve...

Son enfance passa et c'est un petit garçon de dix ans qui continuait de rêver au vent. Hiroyuki, ne pouvait s'empêcher de s'échapper des après-midi durant, découvrant toujours plus de paysage, bravant toujours plus les hauteurs pour percevoir un peu de ce rêve. La Doyenne, avant de s'éteindre, n'avait eu de cesse d'offrir toute sorte de cadeau à son plus fidèle étudiant. Une aiguille dont se servait les acuponcteur de la capitale, des livres compliqués ou même les dessins étaient terriblement difficile à déchiffrer sur le corps humain et enfin, le dernier de ses cadeaux, un objet particulièrement intéressant, un Shakuhachi, petite flute qu'elle avait put obtenir grâce à ses talents. La vieille femme mourut, il y a de ça un an, paisiblement, dans son lit, alors que le jeune Hiro était venu lui faire écouter ce qu'il avait créée sur la petite flute. Se fut une grande perte pour notre jeune ami. C'est depuis cette époque que ses rêves d'évasion n'ont cesse de grandir.

Armé de son Shakuhachi et d'un baluchon, le jeune homme avait fait une énième escapade dans les vastes montagnes de la région. Il c'était fixé pour objectif d'atteindre le plus haut sommet un jours. Il n'en était pas encore là et il dût se rabattre sur un pic surplombant le village. Il parcourait la forêt environnante et continuait de grimper toujours plus. Ses parents seraient surement fâché et il devrait travailler beaucoup pour réparer son erreurs, mais le jeu en valait la chandelle. Mais pas cette fois.

Il émergea enfin de la forêt et une vague odeur de feu lui parvint. Il se décida à l'ignorer à et parcourir les quelques centaines de mètre qui le séparait du pic. Il escalada les derniers mètres et put, le sourire aux lèvres, s'asseoir sur le bord. Le spectacle qu'il découvrit ne fut pas aussi joyeux qu'il se l'était imaginé. Son village était dévoré par les flammes et le vent amené avec les lui les plaintes de ses compagnons. Prit d'un haut le cœur, il dévala aussi vite qu'il le put la montagne. Il prié pour ses pairs, pour sa famille. Il continuait de courir, toujours plus vite. Il tomba à plusieurs reprises, se coupant, laissant sa chair ouverte le saisir de douleur languissante qu'il ignora.

Lorsqu'enfin il parvint à son village, les rizières n'étaient plus qu'un champ de ruine, les maisons crépitaient de leur dernière lueurs et d'innombrable corps jonchaient le sol, tué violemment et sans distinction. Femmes, hommes, enfants, tous avaient péris soit dans l'incendie, soit exécuté. Alors qu'il marchait vers sa maison, les larmes ne cessèrent de déferler à ses yeux, glissant le long de ses joues, venant mourir sur le sol chaud. Il trouva ses parents... Il l'avait laissé seul en ce bas monde. Il n'y avait plus rien, plus d'attache, plus de famille. Il laissa alors éclater sa peine et son chagrin, rongé par le regret. Toute la nuit durant il sanglota, blottit contre le corps de son père. Aucun d'entre eux n'était guerriers, tous avaient péris sans honneur, hurlant au désespoir, la vie semblait finit.

Dont le réveil...

Mais le destin est capricieux. Le palais eu vent de la tragédie et envoya des hommes, le seigneurs en tête, pour vérifier les rumeurs du vent. Hiro fut réveillé à l'aube, emmitouflé dans les restes de son père, embrumé dans la fumée environnante, par la rumeur des sabots approchant. Lorsque le seigneur arriva en ces terres brulées, il ne restait qu'un petit garçon, debout, au milieu du désastre, un livre à la main et une flute dans l'autre, arborant un large sourire.

Désemparé devant la scène, il mit pied à terre tandis que le reste des hommes partirent à la recherche, en vain, d'éventuels survivants. Hitsujide Masahiro, l'actuel chef de clan, regarda le petit attentivement et remarqua le sang, les coupures, les larmes séchaient par la poussière et fut prit d'une émotion rare en ce temps là, la pitié. Il demanda au jeune garçon son âge et Hiro lui répondit simplement. Il prit le petit à part, l'emmenant loin de la désolation et l'interrogea sur les faits, sur sa famille et même sur le livre qu'il portait. Les réponses furent brèves et concis, mais le livre intrigua le haut dignitaire. « Récit d'un Stratège ».

Quel enfant aurait pour livre de chevet un livre de la sorte ? Il se prit d'affection au petit Hiro et prit la décision de l'emmener avec lui. Il serait élevé au château, parmi les jeune élèves prometteurs du clan. Il lui offrit un tout dernier présent, un nom, celui d'ancien noble sans héritiers, celui de Murasama. L'enfant salua son seigneur avec la grâce nécessaire et tourna son regard une dernière fois vers ce qui restait de son village. Il ferma les yeux et tomba de fatigue.

Sa promesse de ne plus pleurer vint se jours là, avec celle de ne plus prononcé le nom de ces ancêtres. Takeï n'était plus, Murasama demeure.

Est Difficile...

Le petit garçon se réveilla dans une chambre impeccablement rangée, spacieuse et magnifiquement ornée. Il resta dans ce lit soyeux plus d'une heure à contempler les murs et la décoration. Il dût même se pincer pour vérifier si la mort n'avait pas frappée. Il se leva doucement et s'approcha de la fenêtre. Ce qu'il vit dépassa ses rêves les plus fous, la capitale s'étendait à ses pieds et le vrombissement de la cité lui donna des vertiges de plaisir. Il chercha ses effets et fut prit de court devant leur disparition. Une femme entra alors dans la chambre et se présenta à lui. Elle était douce et belle, elle lui rappelait sa mère. Elle s'agenouilla près de lui et lui compta ce qu'il avait manqué. Ses effets lui furent rendus et le Shakuhachi avait même était polis pour l'occasion. Elle s'activa ensuite à sa préparation. Il fut baigné, non sans mal, lavé des cheveux jusqu'au orteils, peigné et habillé comme un prince... Comme un prince.

Elle lui confia les projets qu'il allait devoir remplir dans la journée et tout commencerait par sa présentation au seigneur. Il était loin de chez lui, perdu et sans repère, pourtant son sourire ne disparu pas un seul instant. On lui présenta Masahiro et s'inclina avec respect. La suite n'est qu'un enchainement logique de faits et de ce qu'on appel éducation. Il fut confié à la femme qui c'était occupé de lui qu'on lui présenta sous le nom Yuki. Elle serait sa nourrice et tutrice à partir de cet instant. Il était devenu l'unique rescapé d'un massacre et on venait de lui offrir un nom, qui aurait dû mourir. Yuki serait chargé de son éducation cérémonial et il suivrait dorénavant les cours avec les autres fils de guerrier du clan. Le seigneur comptait probablement sur l'intuition qu'il avait eu lors de leur première rencontre à propos du garçon. Et elle serait la bonne.

Hiroyuki fut donc transféré chez dame Yuki, une cousine éloignée et sans enfants du seigneur. Les années qui suivirent furent longue et lourde d'apprentissage. L'écriture, la lecture, le maniement du sabre, la tenue, le thé et même les vêtements. Sa tutrice était douce, mais ferme et il arrivait qu'elle se mettent en colère, face à l'oisiveté de son élève. Les autres professeurs furent contraints de s'adosser à leur nouvel tache et il fut souvent l'objet de moquerie de la part de ses camarades, mais le sourire restait présent. Son esprit vif lui permit de rattraper son retard au niveau littéraire en seulement deux années. Une fois conquise, l'écriture devint une sorte de refuge pour le jeune homme de douze ans, un temple auquel la poésie était dédiée. Ses premières esquisses date de ce temps là et depuis, nombre de carnets furent remplit de mots et de belle tournure.

Son gouts prononcé pour les arts reçut un accueil mitigé. En véritable adorateur de danse et de musique, le jeune homme fut finalement reçut au prestigieux cours d'art d'Hitsuji, enseigné par un précepteurs de grande renommé. Il devint pour lui au fils des ans un modèle. Mikihisa Shingen. Le grand poète laissait chanter les mots et le jeune Hiro ne cessa de les mettre en musique. Le Shakuhachi ne fut plus son seul instrument fétiche. Le Biwa vint rejoindre sa flute et l'on raconte que le poète et l'apprenti restèrent des heures durant à bavarder et échanger leur point de vue sur les arts. Yuki, fascinait par cet engouements pour la création, aurait tout de même aimer le voir exceller dans l'art de la guerre. Son maniement du sabre était correct pour un garçon de son âge, mais on se plaignait de son oisiveté. Il promit à sa tutrice de faire mieux et de redoubler d'effort. Il était convaincu de pouvoir tout obtenir. Il se le devait et, pas seulement pour lui, mais pour sa famille et son village, il se devait de leur rendre leur honneur, bien qu'il n'en eu jamais prononcer un mot, ses convictions étaient ancrée au delà du cœur.

Mais Doux...

Son assiduité fut donc remise en question et il continua de marquer de pierres blanches des progrès sans cesse plus évident aux yeux de tous. Il fut bientôt âgé de 15 ans et une nouvelle donnée vint s'ajouter à ce cocktail déjà si rude, les femmes. Dès qu'il pouvait s'échapper, comme il le faisait d'antan, il courait faire le tour des échoppes et des endroits fréquentés par le peuple et les jeunes femmes. Ses premières conquêtes et ses premiers abus d'alcool aussi vinrent assez tôt. Le plus étrange, c'est que ses pairs étudiants, ne le reconnurent comme un vrai Hitsujide qu'après les premières virées. L'alcool délie les langues et ouvre les cœurs. Il put se former une troupe d'amis fidèle, aussi enclin à la fête qu'il ne le fut lui-même. Ses progrès en art, en combat et même en poésie furent des plus apprécié par Yuki qui ferma les yeux sur bon nombre d'entrave.

Les études se firent toujours plus poussé et il continuait là où tous ne souhaitaient continuer. A l'aube de sa seizième année, il fut convoqué par Masahiro. Le seigneur fit entrer le jeune homme et put constater avec plaisir ses progrès et son engouement pour l'art. Hiro eut même le privilège de jouer quelques airs de musique bien connus du clan du bélier. Après quelques verres, il fut invité à participer à un jeux d'esprit, le légendaire Go. Aussi banale soit cette partie, il n'en était rien. Les enseignants choisissaient chaque année parmi les plus prestigieux candidats une poignée d'étudiant pour leur faire passer un test sous la forme de jeux. Ceux qui sortaient victorieux passé à un niveau d'étude supérieur. Le Seigneur avait insisté, toujours guidé par son instinct, pour faire passer le test au jeun homme. Hiro entama donc un longue partie de go face à son sauveur. Après quelques heures, il en ressortit victorieux et on l'invita à prendre congé. Il salua le seigneur et courut rejoindre ses amis à l'échoppe du coin.

Ce qu'il n'avait pas comprit, c'était qu'il venait de vaincre le seigneur à un jeux de stratégie, art où exceller le dit suzerain. C'est donc, le sourire aux lèvres, qu'il confia son intuition aux meilleurs stratèges du clan. Hiroyuki venait de franchir une barrière sociale élevée. Yuki fut honoré et elle remercia les dieux de lui avoir confié un tel petit génie, selon ses propres dires. Ils partirent ensemble au temple et au milieu des prières, Takeï fut convié au pardon et l'honneur fut restauré.

Et Délicieux

Sa vingtième année vint aussi vite que son enfance fut partit. Il était un homme, étudiant en stratégie militaire et faisait la fierté de ses précepteurs. Shingen ne cesser de faire les louanges de son élève et Yuki fut très fier de son garçon. Le seul bémol de cette histoire, le Masahiro Hitsujide venait de périr lors d'une chasse aux démons. La peine du jeune Hiro fut sans frontière, mais il n'en montra rien. Les funérailles furent grandiose et le jeune homme salua une dernière fois son sauveur, puis se joignit à la prière générale pour la sauvegarde de son âme. Les mois passèrent et son fils avait prit le trône, Tenzo. Il était comme son père, bien que plus enclin à faire la fête, ce qui n'était pas pour déplaire à Hiro.

Partit d'une simple farce entre ami, Hiro c'était travestit en femme pour séduire l'un de ses camarades. Devant la supercherie, nul ne vit la farce et tous se prirent au jeux. Cette histoire fait encore échos dans le cœur des vieux compagnons du jeun homme. Mais le plaisir qu'il avait prit à jouer le rôle d'une femme lui avait ouvert les portes d'un nouveau jeu. A force de fréquenter les femmes, il avait pu jaugé de leur talent et de leur habitude. Ses traits fins et sa grande beauté l'avait surement aidé, mais en plus de courir après les femmes, il s'amusait à les jouer. Son insouciance n'allait pas durer.

Tenzo annonça la préparation à l'invasion d'une contrer voisine. Les serpents d'Hebie allait tomber sous le joug des béliers. Les hommes prirent donc leur bagage pour une campagne en terre humide, loin de leur montagne. Hiroyuki ne sut comment prendre la nouvelle, on l'envoyait en guerre contre un clan auquel rien n'attachait d'importance à ses yeux. Yuki lui accorda ses prières et il parti avec la bénédiction du maitre d'art. Au fils des jours, il inscrivit sur des parchemins leur épopée vers la conquête et la gloire. Ses écrits de guerre sont aujourd'hui considéré comme un récit épique de la nouvelle ère des Hitsujide. La poésie et la beauté de ses mots furent reconnus par tous après l'affrontement, mais pas seulement.

Envoyé comme simple soldat, le jeune homme faisait partit d'un régiment, au même titre que ses camarades d'études. Ils avançaient toujours plus loin dans les terres sans connaître la défaite. Ce n'est qu'au portes d'Hebie que le chaos commença à s'installer. Son unité ainsi que deux autres avaient été envoyé sur le front ouest pendant que l'armée principale venait au nord pour faire diversion. Leur mission était d'entrer dans la cité et d'ouvrir la voie au seigneur. Un grand honneur leur avait été fait, mais cela ne s'arrêta pas là.

Ils furent prit en embuscade par les troupe du serpent et beaucoup d'entre eux périrent lors de l'assaut. Devant la mort, le sang et les cris de ses compagnons, le cœur du jeune homme ne fit qu'un tour. Et son sourire disparu instantanément. Lui qui avait su faire rire ses compagnons, il les voyaient disparaître sous ses yeux. Son regard avait changé, son âme ne lui dicter plus que la vengeance. Son bras se fit justice et le sabre s'engouffra dans la chair à de multiple reprise. Sa technique fut infaillible, lui qui semblait si rêveur, massacrait tout ceux qui lui barrait la route. Après une heure d'affrontement, seule une vingtaine d'homme avaient survécus, laissant derrière eux leur capitaines respectif. Désemparé, tous semblaient arpenter le chemin de la mort honorable. Leur mission ne pouvait s'accomplir et la honte jetterait sur eux un châtiment divin.

C'est à cet instant que la rage du jeune homme, emmagasiné depuis tant d'année, explosa aux yeux de tous. Il prit la tête des survivants et s'avança vers leur destiné, la gloire ou la mort. La main sur le sabre, les hommes derrière lui, la rage au ventre et le regard sûr, il avança. Aucun de ceux présent à ce moment ne saurait dire ce qu'il les a mené vers la victoire, mais une chose était sûr, le jeune homme avait employé une stratégie dépassé depuis des lustres et ils avaient triomphé des gardes, ouvert les portes et offert au Bélier la victoire qu'il méritait.

A leur retour, le seigneur reconnu son courage et son esprit et fit de lui l'un des trois stratège d'Hitsujide. Son sourire était revenus. La vie pouvait donc continuer, son honneur était sauf et le surnom de Renard Ecarlate lui fut donné par les hommes.

L'Honneur

Cela fait maintenant cinq ans que le jeune homme officie en tant que Stratège du clan. Ses gouts en matière d'art, de femme, de boisson et de travestit reste inchangé. Mais à tout cela vint s'ajouter une nouvelle passion, celle de l'acuponcture. Il aurait croisé, selon la légende, le chemin d'un médecin lors d'une bataille et resta bougé bée devant une telle maitrise du corps. Tombé amoureux de cette discipline, il l'aurait alors étudié et serait aujourd'hui apte à pratiquer sa médecine sur le peuple. C'est ainsi que débute l'histoire du jeune paysan devenu le Stratège le plus abouti de son clan.



Arts / Pouvoirs / Armes

- Arts -
  • 1er Art : Description de Votre Art.
  • 2ème Art : Description de Votre Art.

- Pouvoirs -
  • 1er Pouvoir : Brume Occulte - 幽玄霞 - Yuugen' Kasumi
  • 2ème Pouvoir : Rêve Occulte - 幽玄幻想 - Yuugen' Gensou

- Arme(s) -
  • Arme principale : Katana
  • Arme Secondaire : //



Liens

Journal d'un Renard Haha11
    Hitsujide Tenzo : Seigneur du clan. Son père avait recueillit le jeune homme. Il voue une adoration et une loyauté sans faille à son clan et donc, à son Seigneur.
Journal d'un Renard 100zg
    Nom du Personnage : Description du Lien.


Sujets / Succès
    - Rp en Cours -
  • Titre.

    - RP Terminés -
  • Titre.

    - Succès Débloqués -
  • Succès.

Revenir en haut Aller en bas
 

Journal d'un Renard

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SC RPG :: Let's rock baby ! :: Hitsujide et Hebie-