Nom / Prénom : Nakamura KastumotoLieu de Naissance : OndorieSexe : Homme Age : 21 ansRang : SamuraïNiveau de Gloire :
Il fais environ 1m80.
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II) Histoire
Katsumoto ne connait pas son père. Selon sa mère, il fut un grand Samouraï mais fut mort au combat peu avant sa naissance. Il fut donc élevé dans le but de devenir un Samouraï a son tour.
"Mon fils, l'esprit de ton père veillera toujours sur toi. Ne déçois pas un Samouraï, tu porterai la honte sur toute notre famille"
Il fut un bon élève, apprenant le maniement des armes plus tôt que ses camarades d'apprentissage. Il faisait le bonheur de sa mère. On voyait en lui un bon guerrier, certes pas parfait, mais qui serait assez puissant.
"Nakamura Katsumoto, voici votre Wakizashi. Vous êtes dorenavent un Samouraï. Puissent vos ancètres vous bénir."
Mais peu de temps après cette consécration pour lui, sa mère décéda. Personne ne sut de quoi, ni pourquoi. On craignait qu'il allais se faire seppuku, mais il décida de rester en vie, pour faire honneur a sa famille maintenant presque dissoute. On pensait qu'il était le dernier Samouraï vivant dans cette famille. Il quitta peu de temps après le clan Ondorie, car plus rien ne le retenait ici. Ni amis, ni famille, plus personne ne pouvait rien pour lui, et il décida de tenter sa chance dans un autre clan, plus ouvert.,
Il erra longtemps, des semaines entières. A bout de forces, il s'affaisa devant un camp. Il se réveilla près de trois jours plus tard. Il distinguais quelques visages inconnus, puis un visage familier.
"Homura Kahei, est ce que c'est toi mon ami?"
Il acquieca. Il demanda où il se trouvait. Il était dans un camp près du clan Toragi. Lui qui n'avais plus de clan. Il esperait qu'il allais pouvoir y pénétrer.
Plus de deux mois plus tard, il y étais. Peu de gens lui faisaient confiance, et il savait qu'il devrait faire ses preuves pour faire partie entière du clan. Il devrait montrer qu'il était un vrai Samouraï. Il espérait qu'il le montrerait assez, et qu'il gagnerait la confiance des gens de ce clan. Cela ne serait pas facile, mais il se promettait d'y arriver. Il le devais, c'était une question d'honneur familiale