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 "Je ne veux pas jouer !" [PV Mitsuo]

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Satô Hatsumomo







Satô Hatsumomo

■ Clan Usagite ■
|Geisha|

Sexe : Féminin ; Age : 33
Messages : 18


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MessageSujet: "Je ne veux pas jouer !" [PV Mitsuo]   "Je ne veux pas jouer !" [PV Mitsuo] EmptyJeu 17 Mai - 17:06

"Je me demande souvent -Si j'avais l'occasion de reprendre de zéro, de recommencer, est-ce que je ferais les mêmes erreurs ?- et la réponse qui revient sans cesse reste la même. Inlassablement...la même. -OUI-"

Rien n'a changé. Malgré les rixes, malgré les changements de situations politiques auxquelles je ne m'intéressais pas vraiment, rien n'avait changé. Les clients restaient les mêmes, inlassablement. J'en étais même arrivée à me dire que les nouvelles âmes n'existaient plus. Les mêmes demandes, les mêmes gestes. Inlassablement. Pourtant, lasse, je commence à l'être. C'est pénible pour moi d'avoir l'impression de revivre chaque jour les mêmes évènements. Peut-être que je devrais simplement sortir un peu plus souvent de cette maison de plaisir. Pardon. Cette maison de plaisance. Il ne faut pas dire que c'est une maison de plaisir, personne ne l'accepterait. Ici, tout paraît assez tabou mine de rien et quand je regarde tous ces hommes qui viennent à ma rencontre, je réalise à quel point ils paraissent quelque peu perdus. Comme si le fait de frayer avec une Oiran risquerait d'être mal vu. Pourtant, il n'y a pas de honte à vouloir ressentir un peu de plaisir...autrement, mon boulot n'aurait pas lieu d'être. Et ce boulot, j'y tiens. J'en ai besoin, que ce soit pour vivre, survivre, simplement par envie. Beaucoup ne comprenne pas. Tant, sont même allés jusqu'à me demander, pourquoi je gâchais ma vie, mon corps, ainsi. La réponse reste alors la même "Que feriez-vous ? Où iriez-vous ? Si vous aviez envie de passer un instant charnel avec une femme...si je n'étais pas là ?" Et la réaction restait inchangée "...je...bon sommes-nous là pour parler Hatsumomo ? "

Je me relève lentement après avoir fait ma toilette. Un petit moment dans la journée indispensable pour une oiran. L'hygiène reste tout de même la chose la plus importante dans ce métier. Avec le plaisir octroyer aux hommes. Qu'ils soient battants ou battus. Dans les bras d'une créature comme moi, le but est d'oublié. Oublié les guerres, oublié le sang, la peur, le courage. On oublie tout, on se laisse aller. Et des bavards délient leur langue et pendant un instant, nous expose au danger. Oh. Ils ne s'en rendent pas compte. Tellement pas compte. C'est assez égoïste de leur part, mais il faut croire que personne ne doit être totalement à l'abri du conflit. C'est à se demander parfois s'ils se disent que nous risquons de nous faire tuer pour certaines informations glissées sur l'oreiller. Entre deux gloussements, deux gémissements. Pourtant, je n'ai jamais rien demandé. Jamais. Je suis devenue confidente malgré moi et parfois, cela devient lourd. Cette lourdeur sale qui nous embaume, se glisse sur notre peau et y reste crochée jusqu'à ce que l'eau ne la déloge. Et même encore, parfois, je reste avec la sensation de cette lourdeur ancrée dans chaque pore de ma peau. Mais j'essaie d'oublier, de faire abstraction.

Je me glisse hors de la salle d'eau, dégoulinant légèrement sur le sol. Je repense parfois avec nostalgie à mon oka-san, qui aurait été choquée, énervée même, de me voir tremper le sol sans semblé être gênée le moins du monde. Mais j'ai toujours aimé ça, écouté, entre chacun de mes pas, une petite goutte s'écraser avec un "plic" ou un "ploc". Des choses anodines qui pourtant me mettent en liesse pour la journée. Enfin...vu que le jour est levé depuis si longtemps, je pense que je pourrais dire, la soirée.
Et alors commence le même rituel. Si j'avais été une geisha comme toutes mes compatriotes, j'aurais dût me lever à l'aube pour me préparer. La poudre de riz, le chignon douloureux, la mise en place, avec l'aide d'une des Maiko, du kimono traditionnel. Mais je ne suis pas une geisha n'est-ce pas ? Alors je me contente d'un peu de poudre de riz, d'une couche de maquillage, me transformant en objet d'art et de plaisir. Le kimono que je porte est bien trop court, bien trop échancré. Comme je travaille seule, je ne prends même plus la peine de nouer le Obi. Même si j’aurais dû, les femmes de mon genre le portant sur le devant. Femme de mon genre. Pourtant, je n’ai aucun problème avec ce que je fais, malgré le fait que je peine un peu à parler franchement, crûment, dire que je suis une fille facile au final. Je devrais peut-être ressentir une forme de honte, car c’est ainsi que Oka-san pensait me punir de ce que je faisais, de fait que je sois volage, à écarter les cuisses si facilement. A notre époque, c’est si mal de ne pas être une fille de tradition. D’autant que j’aurais dû porter avec fierté les couleurs que sont le rouge, le blanc et le noir, des geishas. Mais la vie est ce qu’elle est et je ne regrette en rien la mienne.

Une fois prête, j’enfile mes chaussures et sors. Il ne fait pas trop froid, bien que chaud ne serait pas un mot très adapté. Je suis bien heureuse d’avoir les pans de mon kimono assez larges pour les replier sur ma poitrine, visible, un peu trop probablement, de par ma tenue. Je frissonne doucement et me dirige vers le centre du village. Je n’y mets que rarement les pieds et y restent rarement longtemps, y allant en général uniquement histoire de pouvoir me trouver un client, pour m’acheter de quoi manger. C’est uniquement pour cela que je continue de faire ce que je fais…vraiment ? Non. Je le fais également parce que j’ai visiblement un souci avec le sexe opposé. Un souci ? Une attirance incontrôlée serait le mot. Aussi, il est donc normal pour moi de me laisser glisser dans les bras de tout homme croisé. Il m’est même arrivé de ne rien demander à un client. Pas d’argent, rien du tout. C’était rare, mais je faisais ce cadeau si l’homme en question en valait la peine. Les hommes seuls ont-ils le droit d’aimer les belles choses ?

Les rues sont animées à cette heure-ci. La liesse que je ressens dans l’air me fait le plus grand bien. J’essaie de me dépêcher de rallier la maison de plaisir. De plaisance, pardon. Il ne vaut pas mieux trop mettre en avant ce qu’on peut y faire. Je salue au passage quelques personnes qui me reconnaissent. « La fille à la carpe ». Personne n’aurait su me trouver meilleur surnom. Ce tatouage que je porte fièrement est un emblème pour moi. Plus qu’une manière de martyriser mon corps, c’est une manière de l’embellir. Je ne peux être une geisha, par ma manière d’être, mon éducation, alors se sera par mon corps. En entrant dans le lieu, la chaleur et le brouhaha ambiant me fait vite ressortir. C’est rare qu’il y ait si peu de retenue chez les gens. Je m’appuie contre la poutre près de l’entrée, regardant les passants tout en m’éventant à l’aide d’un éventail de papier.

-Mais n’est-ce pas là la dame à la carpe ?
-Jinichirô…je croyais t’avoir demandé de ne plus m’approcher.
-Quoi ? Tu n’as pas aimé notre petit jeu de l’autre nuit ?
-Tu parles de quel jeu ? « Faire crier la carpe » ? Ce n’était pas…va-t’en s’il te plaît.

Jinichirô avait été un de mes clients. Avait, car c’était fini maintenant. Depuis son petit jeu cruel, je n’avais plus envie de le voir. J’avais promis de ne pas me plaindre à la garde ou même carrèment à dame Usagite, s’il me laissait tranquille. Il avait promis, mais l’alcool fait dire bien des sottises…visiblement.

-Oh…ma caille. Ne sois pas si cruelle. On était bien tous les deux…

Sa main sur mon bras me fit sursauter. Je ne pensais pas qu’il irait jusqu’à pousser le vice en me touchant. En tentant de dégager mon bras, je plantai mon regard émeraude dans ses yeux froids de bœuf fou, genre d’homme massif qui possède plus de muscle que de cerveau.

-Je t’ai demandé gentiment de me laisser…tu me fais mal.

Il n’était visiblement pas décidé à me laisser repartir tranquillement. Dire que je pensais passer une soirée tranquille, sans accro, il faut que je tombe sur lui. Je me débat doucement, juste pour récupérer mon bras, mais il sert plus encore, tandis que je couine doucement. Les gens autour ne semble pas s’émouvoir. Après tout, ce n’est qu’une oiran. Son haleine envahit mon espace, ses lèvres si proches des miennes que je peux apercevoir la cicatrice qu’il possède avec trop de détail. Sa bouche porcine sur la mienne, je lui fiche mon genou entre les jambes avant de partir en courant, me frayant un chemin à travers la foule. Je trébuche plusieurs fois dans la boue avant de me relever, perdant au passage mon peigne de jade. Je pensais être sortie d’affaire lorsque j’arrive au centre du village, mais je me trompes amèrement, car déjà, une main massive m’agrippe par le poignet, serrant si fort que je crois entendre mes os craquer. Attirée, happée, me heurtant à un torse épais, le torse de ce géant de Jinichirô. Je pousse de ma main valide, mais c’est inutile, une seconde main massive et désagréablement rugueuse se glisse, sournoise, pour se faire brutale contre mon sein, par l’interstice de mon kimono.

-Arrête Jinichirô ! Je ne veux pas jouer !
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Mitsuo Usagite







Mitsuo Usagite

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Statut : Chef de Guerre
Yumigami Sabre

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▲ Surnom :: Buraindo Masayoshi (Justice Aveugle)
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MessageSujet: Re: "Je ne veux pas jouer !" [PV Mitsuo]   "Je ne veux pas jouer !" [PV Mitsuo] EmptySam 19 Mai - 17:20


    Taken

    ~~On ne voit pas deux fois le même cerisier, ni la même lune découpant un pin.
    Tout moment est dernier, parce qu'il est unique~~


    Elle pourra nous être utile !

    Ce furent les derniers mots de l'extraordinaire réunion tenu par le conseil des éclats de lune. L'ordre c'était rassemblé en ce soir de printemps pour débattre de l'évolution des évènements survenus dans l'Hinomoto. Mitsuo avait décris son combat contre les Yokaï et le démon roi, avait approuvé Nasaï Kobutama comme étant un allié sûr et la suite n'avait plus dépendu de lui. Il dirigeait le conseil, non ses décisions. D'un commun accord, les maitres avaient donnés un avis unanime, il fallait s'armer contre le futur, se préparer à entrer en guerre. Les choses évoluaient trop vite pour que rien ne soit anodin.

    Au cours des heures, les conversations devinrent aussi variés qu'absolument sans rapport. Après la plantation du riz, l'armement des troupes et la clarté de la Lune, les mots commencèrent à mettre en forme une image, celle d'une jeune femme apparemment sans pareil dans toute l'archipel. Une prostitué au caractère bien trempé. Le pourquoi du sujet, qui ne trouvait sens aux oreille du chef de guerre, survint lors de la possibilité d'envoyer des espions. La plupart des Shinobis d'Usagi était des Assassins, non des espions, la guerre avaient trop frappée parmi leur rang pour qu'ils perdent leur temps à former des commères capable de les trahir. Il fallait donc faire preuve d'ingéniosité et trouver, parmi les gens du peuple, des colporteurs de rumeurs.

    Les commerces ambulants ramenés souvent des nouvelles, mais les routes de l'Hinomoto étaient bien vaste pour que l'information recherchée puisse un jours aboutir, auquel cas il serait évidement en retard. Les maitres avaient eu pour idée d'envoyer des petit gens sans trop d'intérêt s'établirent dans d'autres cités, envoyant des lettres anodines pour les non avertis, mais comportant des informations cruciales pour qui savait lire entre les lignes. Une véritable troupe d'espion amateur, insoupçonnable, non tractable, croyant travailler pour une troupe de mercenaire. Une aubaine, un gains de temps et d'argent inestimable. Le nom de leur prochaine cible sonnait tel un Haïku du passé. Une promesse de vigueur et un mental d'acier, « La Carpe ».

    Le jeune chef c'était donc acquitté d'une mission de surveillance. Tester sans cesse la fiabilité des candidats, trouvé une faille à exploiter. Bien que pour son rang, c'était s'abaisser aux basses besognes, ce genre d'affaire le tenaient occupé et le sauvait de nuit blanche. Habillé comme un mendiant, Mitsuo laissait échapper une odeur pestilentielle, un manque d'hygiène apparent et un don théâtral insoupçonné. Il suivait depuis quelques jours la belle Demoiselle Sâto, masqué sous sa capuche en lambeau, son bandeau toujours vissé sur ses yeux. Les rumeurs allaient bon train sur elle, pourtant, lorsqu'il l'aperçut pour la première fois, elle lui laissa un tout autre sentiment que le dégout et la pitié. Son aura dégageait quelque chose de sain, d'authentique. Jamais chez une fille de joie on ne pouvait sentir ce genre de chose, trop enfouit sous la couche de honte et de désespoir, masqué par le maquillage et la résignation. Mitsuo avait toujours haït les femmes dans ce genre, trop habitué à fréquenter Dame Noriko. Les faibles, hommes ou femmes, n'avaient cas mourir.

    L'occasion de fréquenter ce genre de maison c'était déjà présentée, comme tout bon samouraï d'ailleurs, mais il avait refusé. Il n'approuvait pas ce genre de choix de vie. Mais ce qui le mettait encore plus mal à l'aise rester sans aucun doute l'assurance dont faisait preuve la jeune femme. Elle lui rappelait la Dame du clan, forte, fière et terriblement belle. Pouvait-elle concevoir son métier comme juste ? C'était un mystère pour le jeune homme. Il allait devoir engager la conversation. Le dernier jour de filature, il avait opté pour une tenue de samouraï, la plus sombre possible. Aucun signe de richesse ostentatoire, son katana enlacé contre lui, le manche recouvert d'une toile pauvre en couleur et fané par le temps. Une longue toge lui couvrait les cheveux et le visage, cachant son handicap de la foule, évitant d'être reconnu par ses troupes.

    La jeune femme n'avait rien fait d'extravagant en ce début de journée et après quelques courses faite en ville, le jeune guerrier l'avait suivit jusqu'à chez elle. Elle semblait attendre son premier client lorsque ce qui semblait être un habitué s'avança vers elle. Son ébriété n'était pas digne d'un homme et son odeur alcoolisé ne faisait qu'enlaidir un tableau déjà si dénué de toute beauté. La discutions parvint aux oreilles du chef de guerre, le laissant abasourdit par tant de franchise sexuelle. La belle semblait en danger, mais se dégagea de l'homme ivre. Elle passa devant lui sans l'apercevoir, bientôt suivit d'une démarche lourde et dépourvue de grâce. Premier affront, un baiser volé, le sang du jeune homme ne fait qu'un tour, mais la riposte est violente et touche son but, la virilité. Elle coure dans la foule, tombe, se relève, tombe encore. A son odeur se mêle bientôt la peur, aucune aide extérieur n'accourt. La chasseur, sur de sa force d'homme, s'approche de son gibier. Quelle scène horrifiante, dire qu'un tel comportement existe encore dans les murs d'Usagi.

    Les cris de la belle s'éloignent lorsque Mitsuo se décide à bouger. Il se fige quelques mètres plus loin, la Carpe a perdu une écaille. Il la range soigneusement avant de reprendre sa route. Les gens ignorent le mal et se joue de lui, une lâcheté général ahurissante. Le jeune homme s'approche de la scène. Le mal ivre s'approche de sa proie, elle est cernée et bientôt, c'est le déshonneur, l'humiliation. Les palpitations de son frêle corps se font bientôt insoutenable et la réaction devient instinctive. Le samouraï s'approche, d'un pas de loup, dans le dos de la bête. Sa main glisse vers le manche de sa lame et la Justice se fait Aveugle. En un éclair, le fourreau se retrouve vide de toute présence et le fil de la lame vient s'abreuver de sang. Le bras du conquérant vole dans les airs avant de retomber lourdement sur le sol, accompagné d'un hurlement de douleur.

    Le mécréant s'agenouille, tenant son moignon de sa main valide. La Justice se glisse sous sa gorge.

    Implore le pardon de la dame avant que le sang coule de nouveau. L'homme, emplit de peur et de lâcheté, s'exécute dans un râle atroce. Tu ne mérites pas de vivre, mais la lune est douce aujourd'hui, ton corps ne viendra pas salir sa beauté. Pars !

    Encore une fois, l'ordre est donné. La foule, tout d'abord choquée d'une telle réaction, surtout à l'encontre du telle femme, finit par reprendre sa routine et bientôt, tel la fleur fanée retournant à la terre, la masse se remet en marche. Mitsuo, toujours masqué, rangea son sabre dans sa garde et salua la belle demoiselle d'un signe de tête. Les personnes de son rang n'en mérite pas tant, mais devant sa faiblesse, l'homme bon se doit d'être honorable. Il la guide à travers le peuple qui s'abstient de lancer des commentaires et se pose devant sa demeure. C'est avec grâce et volupté qu'il tant le peigne à sa propriétaire.

    Je me nomme Seishi, je suis un humble non voyant et je cherche un endroit calme et de la compagnie pour boire le thé, sauriez-vous où je puis trouver réponse à ma requête ?

    Protection instinctive, il lui est impossible de se dévoiler, son rang le lui interdit. Il ne devrait même pas être là. Après réflexion, son geste n'avait été que pure folie, il aurait pu se faire démasquer et alors, que serait-il advenu de la réputation sans faille du chef de guerre du clan de la Lune. Peut importait, le dialogue était lancé, sa mission quelques peu oublié et sa bonté d'âme, toujours opérante après avoir vu et vécu tant d'horreur. Cette femme lui resservait sans doute beaucoup de surprise.
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